Prénom Nom Informations générales
- Surnom : Delara
- Âge : 30 ans depuis naissance, 10 ans avant activation.
- Sexe : Féminin
- Taille : 1m65
- Poids : 50
- Race : Cyborg (Type 1)
- Planète d'origine : Terre
- Personnage de base de l'avatar : Nom du personnage || Œuvre dont est issu le personnage ou dessinateur
DESCRIPTION PHYSIQUE
Bon allez on va me décrire. Alors pour commencer, je suis une fille. Voila, c'est dit. Bon, cela dit, je sais pas si ça marche encore tout ça, le prof a peut être retiré des trucs. Mais c'est pas la question.
Bon pour en revenir au schmilblik ... Ouh la vache c'est dur à écrire ... Schmilblick ? Ca doit être ça, le correcteur est d'accord. Bref, je suis pas super grande. Mais jsuis pas une naine non plus. Pis jsuis pas grosse. Parce que c'est pas cool. Fin j'ai rien contre les grosses, c'est pas la question. Jfais un bon mètre soixante cinq on va dire, pour une cinquantaine de kilos.
J'ai des cheveux roux, qui me retombent le long du visage jusqu'aux épaules. Ces imbéciles ont la bonne idée de friser, et ça me rend dingue, mais comme ils ont une volonté propre, j'ai laché l'affaire et je les laisse vivre leur vie tranquille. Sinon, on va y aller en descendant doucement. J'ai des yeux verts, genre bien verts. Je les tiens de ma mère. Jle sais parce que sinon, je les aurais crevé. Mais bon, c'est une autre histoire. Ma peau est très très pale; ça doit venir du fait que j'ai pas vu le soleil pendant dix ans ... Mais c'est aussi un détail. Ok on arrive aux détails sympa. Je porte un putain de masque à gaz. Me demandez pas pourquoi, il est intégré. Je peux pas le retirer, même pour dormir. Pour manger je peux ouvrir la trappe vitrée devant, mais c'est tout. Et c'est super bizarre du coup. Bon, en dehors de ça, il n'y a aucun filtre apparent dessus, donc je doute de son efficacité. Je pense plutôt que le doc a eu la bonne idée de paufiner le style de sa bécane. Quel con.
Bon, on continue. Histoire de continuer dans le fétiche bizarre, mes fringues, c'est du cuir. Le genre qui colle à la peau, et qui grince quand tu fais des mouvements trop amples. Ah oui j'oubliais, en prime de ça, c'est SUPER pas adapté à l'été. Et comme si ça suffisait pas, j'ai droit aux renforts en métal et aux chaines un peu partout. Me demandez pas, j'ai déjà cherché, y a pas d'autres fringues dans cette base miteuse. Ah, par contre, c'est intégré à la combi, et c'est cool, j'ai un putain de sniper dans le dos. Genre le gros fusil, qui tient avec un holster. Et ça c'est la classe. Fin je crois. J'imagine ? Bref !
Plus bas, j'ai une ceinture avec plusieurs sangles qui servent probablement à ranger des trucs ou d'autres. En ce moment je m'en sers comme porte-cartouches, vu qu'il m'en reste pu des masses, mais bon j'imagine que c'était pas le but recherché. En dessous de la ceinture, on continue naturellement avec ... Du cuir, ouais ! Bon, du coup ... Bah un pantalon en cuir, le genre qui colle à la c... Ok je le dirais pas, mais les Kassos l'ont fait pour moi !
Bref ! Au niveau des godasses, bah devinez ? De bonnes grosses godasses façons Doc Marteens, histoire d'être certain que je sois noyée de haut en bas. Vivement Juillet. Bon, sinon, que dire d'autre ? Ah ouais, j'ai un genre de radio dans l'oreille droite. Le son est infect, c'est dégueulasse, ça grésille presque tout le temps, mais j'imagine que ça me servira à recevoir mes instructions.
DESCRIPTION MENTALE
Je suis une jeune femme très délicate et sensible. Et ceux qui osent penser le contraire, je leur éclate leur petite g... Ahem, je veux dire que je ne suis pas du genre à perdre mon sang froid, et que je préfère largement penser avant d'agir. A la longue liste de mes qualités, il convient d'ajouter une modestie sans failles, ainsi qu'une humilité hors pair. Après tout, facile d'être humble quand on est si parfaite, non ? Bon, quoi qu'il en soit ... Ah oui, j'aime bien tout ce qui est vert, c'est joli le vert, non ? Par contre j'aime pas les insectes, c'est typiquement le genre de trucs qui me terrorise. Et puis ça pourrait rentrer dans les trous que j'ai dans les mains non ? Beurk, quelle horreur, des fourmis dans mes mains ?! Pas question !
Bon sinon, en dehors de tout ça ... Je pense en avoir déjà donné des infos hein ... Ah je peux peut être dire que je suis pas super courageuse, et qu'en vérité, j'ai un peu peur du noir aussi ? Bon certes, je dois bien avoir une fonction de vision nocturne quelque part dans tout ce bordel, mais quand même ... Ah, et puis c'est peut être une résurgence de mes traumatismes, mais j'ai assez de mal à faire confiance aux hommes. On se demande pourquoi.
HISTOIRE
Chapitre 1Et ils se marièrent et eurent un enfant. Fin. C'est comme cela que se termine bien des histoires de conte de fées. C'est ce que l'on souhaite à tout héros qui se respecte, se marier avec son idéal féminin, et lui faire toute une ribambelle de mouflet. Et c'est aussi comme cela que commence mon histoire. Mon père, jeune artiste martial sans grand talent, qui raflait quelques prix de seconde ou troisième place par ci par là, rencontra un jour une séduisante jeune femme qui se vantait haut et fort d'être la prochaine actrice à succès, que l'on verrait dans tout les films du monde. La pauvre. Si elle avait su qu'en acceptant les avances de ce sombre imbécile, sa vie deviendrait un enfer ...
Malgré leurs différences, et je ne parle pas ici que de l'âge qui les sépare, à savoir onze ans, tout deux décidèrent bien vite que la vie à deux, c'était beaucoup plus cool que la vie d'ermite paumé. D'autant que l'un comme l'autre avaient eu un point commun : Revoir ses rêves à la baisse. Pas de championnat du monde pour l'un, pas de blockbuster pour l'autre. Et ouais, la vie, ça craint, hein ? Toujours est il que, durant cette période de leur vie, tout se passait relativement bien. Oh, bien sûr, l'argent manquait assez souvent, et ils en trouvaient comme ils pouvaient, que ce soit en acceptant des petits boulots miteux, ou en vendant des choses que personne ne devrait vendre. Et vint un jour l’événement qui changerait leurs vies. Moi.
Je naquis un triste jour d'automne, sous la pluie, comme si le monde m'expliquait de suite que ma vie serait un calvaire. Je n'étais qu'un bébé, et à l'époque je ne comprenais pas cela, mais plutôt qu'une joie, pour mon père je ne représentait qu'un trou dans le budget. Alors il força ma mère à travailler plus. Plus de bouches, plus de boulot, normal d'après lui. Pendant ce temps, ce gros tas immonde passait ses journées à boire des bières. Les années passaient, et notre fine équipe survivait comme elle le pouvait. Les joues de ma mère étaient un peu creuses, mais rien d'alarmant. Et jusque là, tout se passait encore bien. Même si la vie n'était pas facile, je ne manquais de rien. Sauf peut être d'un père. Je crois que c'est vers ma majorité que tout à commencé à dégénérer. Alors que j'étais en âge de comprendre plus de choses, et que mon géniteur décida qu'il était plus que temps que je gagne de l'argent. Ou, comme il l'a formulé "Que l'on puisse vivre de moi". Je me souviens encore avoir eu du mal à comprendre la signification de cette phrase. Jusqu'à l'arrivée du premier "client".
J'ai mis des heures à assimiler. Mon père m'avait vendue. Pour une heure. Comme on prêterait un outil ou un vélo. Je me sentais sale. Souillée. Les Zénis éparpillés dans la pièce ne changeaient rien à la situation. Quelque chose en moi s'était brisé, et jamais il ne se réparerait. Il y eut bien d'autre tentative de sa part de gagner de l'argent. Avec des vieux. Des jeunes. Des hommes. Des femmes. Mais cette fois j'étais préparée. Je savais, cette fois, et j'attendais, armée. Cela ne lui plaisait pas vraiment, aussi commençait il à frapper. Pas sur moi. On n'abîme pas la marchandise, comme il disait. Il préférait frapper ma mère, devant moi. Ses cris étaient perçants, et résonnaient toujours dans ma tête. Jusqu'à ce que je capitule, et que je le laisse faire.
Il s'écoula deux ans avant que cela ne change. J'avais perdu le peu de volonté qui m'animait encore. Je n'étais rien de plus qu'une poupée, juste bonne à faire ce que l'on attendait de moi. Je ne saurais dire ce qui s'est passé ce jour là. C'est peut être le cri déchirant d'une femme qui se fait frapper par son mari qui m'a ravivée. Ou le porc qui tentait de m’agripper. Ma lame jaillit, de sous mon oreiller. Jusque dans sa jugulaire. Un liquide rouge et chaud s'échappa rapidement, en bouillonnant, et innonda le sol de la chambre dans des gargouillis grotesques. Je ne laissais même pas le temps à ce pauvre homme de comprendre ce qu'il lui arrivait. Je me levais, avec lenteur, pour me diriger vers la porte. Ma mère gisait, sur le sol, une marque bleutée sur la joue. Inconsciente. Le même liquide rouge coulait de sa tempe, sur le sol. Je reportais lentement mon regard vers l'homme qui venait de la tuer. Je ne pouvais plus me résoudre à prétendre qu'il était mon père. J'avançais dans sa direction. Je devais faire peur à voir, puisqu'il recula en bégayant. Je suppose que le sang n'est pas le genre de choses que l'on aime regarder. Un pas de plus. Son dos heurta lourdement le mur. Un autre pas. Encore quelques uns ... Un autre... Il prit une posture défensive. Peu importait. Il avait suffisament usé de ses mains sur ma mère. Il commencerait par un crochet à droite. Puis tenterait un direct gauche. Un autre pas.
Le coup jaillit bien de droite. Et je me baissais assez pour ne pas subir le choc. Son autre poing partit, mais je fus plus rapide. Bien plus rapide. La lame se planta lourdement entre les côtes de l'ivrogne, qui s'effondra après quelques secondes d'un baragouinage incompréhensible. Couverte de sang, je fixais le corps sans vie de mes deux parents. Je jurais de ne pas finir comme eux. Prisonnière de ma propre vie. Et je sortais de chez moi. Plus rien ne m'attendrait ici.
Vous savez, le plus drôle au sujet de cette histoire ? C'est que vous en savez plus que moi à ce sujet. La suite de ma vie vous l'expliquera probablement, mais je n'ai qu'une image très floue de mes parents. Et de leur meurtrier.
Il s'écoula de nouveau plusieurs semaines, durant lesquelles je déambulai sans réel but, par ci par là. Je vivais comme je le voulais, libre. Lorsque j'avais faim, je mangeais. Et lorsque j'étais fatiguée, je dormais. Je prenais quelques petits boulots pourris, pendant deux ou trois jours, histoire de me faire quelques zénis. Rien de bien compliqué hein, femme de ménage par ci, serveuse par là. Dans l'ensemble, ça me plaisait bien je crois. Puis je l'ai rencontré. Matt. Un type bizarre, mais plutôt marrant. On a pas mal discuté, et on s'était rapprochés. Suffisamment pour que j'accepte qu'on bourlingue tout les deux. Il me parlait de tout, souvent, de choses que je ne comprenais pas, d'ailleurs. Il parlait de règne, de ruban rouge, de robots, de batailles. A l'époque, je croyais vraiment qu'il divaguait. Mais il était gentil. Alors moi, je l'ai accompagnée. Comme une bonne petite idiote. Je crois que je n'ai compris l'entourloupe que lorsque les soldats m'ont attrapée. Et que Matt a reçu des mains de l'un d'eux une belle somme en zénis. J'ai crié, je me suis débattue, je l'ai insulté. Mais je n'ai pas pu fuir.
Il ne s'écoula cette fois pas bien longtemps avant que je sois placée dans une espèce de grande bulle. J'eus beau taper sur les bords de celle ci, le verre tint bon et refusa formellement de se briser. Un vieil homme sembla beaucoup apprécier la situation. Il ricana, avant d'injecter un gaz dans ma bulle. Je luttais pour retenir mon souffle, mais, sitôt que l'air me manqua, je le respirais, et sombrait dans l'inconscience. Aujourd'hui encore, j'ignore l'étendue de ce qu'il m'a fait. Mais les deux trous dans mes paumes indiquent qu'il a bien fait quelque chose. J'ignore aussi pourquoi il m'a modifiée. Et pourquoi il m'a laissée dans cette bulle pendant si longtemps. Et pourquoi je ne me souviens de rien. Si ce n'est qu'il est mon maître.
Erreur. Erreur. Le système est gravement endommagé.C'est l'alarme qui me tira de mon sommeil. Je gisais, inerte, dans les restes de la bulle verte. Le plafond avait eu l'air de s'effondrer. Aucune trace de qui que ce soit. Je me relevais lentement, avant de marcher. Vers la sortie. Encore une fois, plus rien ne me retenait chez moi. Je pris soin, en partant, de débrancher l'alarme. Un nouveau monde m'attendait.
DERRIÈRE L’ÉCRAN
- Pseudo : Hm ... Disons Sad, ça sonne mieux que mon vrai prénom.
- Âge : 26 piges
- Comment avez-vous connu le forum ? Google
- Vous connaissez bien l'univers de Dragon Ball ? J'ai maté tout les épisodes de toutes les séries DB, pas tout les films, et je me retape un marathon en ce moment, donc je dirais "Bien"
- Un truc à nous dire ? Un truc à dire ? Euh ... Pomme de terre ?
- Avez-vous lu le règlement ? Ouais je l'ai lu, et je m'engage à le respecter.